Juste pour dire que c'est le 100ème article
Tout est dans le titre. Avec le recul, cela me semble énorme. Je n'aurai pas pensé me prendre autant au jeu. Bon, c'est vrai, la plupart des articles ne sont pas de moi, mais des musiciens/interprètes/compositeurs qui les ornent avec, le plus souvent, et à mon avis, brio (lorsque mes phrases sont imbitables, il ne faut pas hésiter à m'en faire part, comme c'est moi qui l'écrit, ça n'est parfois point clair, sauf pour leur auteur, moi, donc... ;-p)
Le chiffre qui me saute au yeux est trente et un. C'est le nombre d'articles traitant de musique. Deux explications possibles :
- Etarcos fait du remplissage
- Etarcos aime la musique
Après une profonde auto-introspection (le pléonasme, est, par effet de style désiré, et ici encore, doublement volontaire...) je pense que la solution, comme souvent, se trouve à peu près à mi-chemin. La musique, fait partie de moi. Le remplissage aussi. Je me remplis, en partie, de vos commentaires, de ce que vous pouvez m'apporter. Je ne renie pas mes amis et fréquentations, mais les personnes qui s'expriment sur ces colonnes, je ne les aurai pas rencontré, sauf hasard extraordinaire, dans la "vraie vie" (question très compliquée : l'internet est-il une "fausse vie" ?). Ces personnes, donc, qui me lisent et m'enrichissent par leurs avis, je les remercie ici, du fond du coeur. La vraie richesse, sans fausse modestie aucune (vraiment en vrai), n'est pas dans ce que je peux écrire, mais dans la relation qui s'est tissée avec vous. J'aimerais vraiment rencontrer les "gens derrière la machine". De part notre origine sociale-professionnelle-culturelle nous sommes ammené, au bout du compte (du moins pour ma part) à rencontrer toujours le même "type" de personnes. Sans vouloir généraliser, là n'est pas le propos, mais avouez que, par exemple, Isis, aurait eu peu de chance de dialoguer avec moi par les "voies traditionnelles". L'éloignement géographique, l'âge, la situation socio-professionnelle sont des facteurs limitants. L'internet les brisent. Tant mieux.
Pour faire simple, je suis absolument ravi de cette expérience. Je ne savais réellement pas, au départ, si ça durerait. J'aurai plutôt misé sur le non. Je me suis trompé, et tant mieux :-)
Je précise, en toute franchise, que j'écris ces lignes à trois heures du matin bien cognées, que j'ai passé une soirée bien arrosée, et que je suis, par la même, presque aussi cogné que les sus-nommées heures. Tant mieux, d'un sens, j'ai d'autant moins de retenue pour vous le dire : merci, je suis réellement heureux de vous avoir comme lecteurs et comme amis "virtuels".
Le chiffre qui me saute au yeux est trente et un. C'est le nombre d'articles traitant de musique. Deux explications possibles :
- Etarcos fait du remplissage
- Etarcos aime la musique
Après une profonde auto-introspection (le pléonasme, est, par effet de style désiré, et ici encore, doublement volontaire...) je pense que la solution, comme souvent, se trouve à peu près à mi-chemin. La musique, fait partie de moi. Le remplissage aussi. Je me remplis, en partie, de vos commentaires, de ce que vous pouvez m'apporter. Je ne renie pas mes amis et fréquentations, mais les personnes qui s'expriment sur ces colonnes, je ne les aurai pas rencontré, sauf hasard extraordinaire, dans la "vraie vie" (question très compliquée : l'internet est-il une "fausse vie" ?). Ces personnes, donc, qui me lisent et m'enrichissent par leurs avis, je les remercie ici, du fond du coeur. La vraie richesse, sans fausse modestie aucune (vraiment en vrai), n'est pas dans ce que je peux écrire, mais dans la relation qui s'est tissée avec vous. J'aimerais vraiment rencontrer les "gens derrière la machine". De part notre origine sociale-professionnelle-culturelle nous sommes ammené, au bout du compte (du moins pour ma part) à rencontrer toujours le même "type" de personnes. Sans vouloir généraliser, là n'est pas le propos, mais avouez que, par exemple, Isis, aurait eu peu de chance de dialoguer avec moi par les "voies traditionnelles". L'éloignement géographique, l'âge, la situation socio-professionnelle sont des facteurs limitants. L'internet les brisent. Tant mieux.
Pour faire simple, je suis absolument ravi de cette expérience. Je ne savais réellement pas, au départ, si ça durerait. J'aurai plutôt misé sur le non. Je me suis trompé, et tant mieux :-)
Je précise, en toute franchise, que j'écris ces lignes à trois heures du matin bien cognées, que j'ai passé une soirée bien arrosée, et que je suis, par la même, presque aussi cogné que les sus-nommées heures. Tant mieux, d'un sens, j'ai d'autant moins de retenue pour vous le dire : merci, je suis réellement heureux de vous avoir comme lecteurs et comme amis "virtuels".